Terre d’Ecole à la COP 21 : Une école pour des africains, par des africains

Terre d'Ecole à la COP 21 : Une école pour des africains, par des africains
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TERRE D’ECOLE annonce sa participation à la COP 21 et présentera son nouveau programme d’éducation scolaire, inscrit dans le cadre d’un projet de développement durable et d’autosuffisance alimentaire. Terre d’Ecole permettra aux enfants de se réapproprier la tradition ancestrale des cultures vivrières.

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CULTIVER EN SE CULTIVANT

Terre d’Ecole (www.terredecole.com) est un nouveau programme éducatif destiné aux élèves des classesprimaires & secondaires dont l’objet est d’associer aux programmes scolaires académiques, la connaissancedes cultures vivrières basée sur la tradition de leurs parents dans le respect de l’écosystème et de la préservation de l’environnement.

TRADITION & MODERNITE

Terre d’Ecole est un projet novateur. Il allie à la fois un enseignement académique fondé sur des basesscientifiques apportées par des équipes de chercheurs africains et francophones, mais aussi et surtout,l’intégration de traditions ancestrales locales, que les élèves devront recenser, assimiler et mettre à profitpour les cultures qu’ils choisiront.

L’ambition du programme Terre d’Ecole est de maintenir le lien culturel entre les générations et de faire percevoir aux enfants la richesse de leurs racines et leur compatibilité avec la modernité. Ainsi, les élèves adopteront des valeurs ancrées dans le respect des traditions et la protection des richesses qui les entourent avec conscience et démarche éco responsable.

Terre d’Ecole favorise le développement durable dans la mesure où son programme scolaire place lescoutumes et les connaissances ancestrales au cœur de l’enseignement dispensé, les méthodes occidentalesne servant qu’à donner du sens aux pratiques.

ENFANTS & CONTEURS SUR LE STAND DE LA COP 21

Lors de la COP21, Terre d’Ecole accueillera de nombreux enfants sur son stand (Zone Société Civile & Négociateur) afin qu’ils découvrent les contes de Gondwana issus des racines culturelles africaines. Ils permettent aux enfants de comprendre leur niveau d’interaction sur l’environnement et ainsi d’adopter des attitudes en faveur de la préservation de l’écosystème dans lequel ils vivent.

Terre d’Ecole sera à la COP 21 pour présenter son programme et son adéquation à l’Afrique, en proposant de nouvelles voies et de nouvelles perspectives… des perspectives et solutions africaines aux problèmes environnementaux et sociétaux.

LA PREMIERE « TERRE D’ECOLE » DEJA EN CONSTRUCTION

Le premier établissement Terre d’Ecole est en cours de construction à Kintélé au Nord de Brazzaville (République du Congo) face à la nouvelle université qui accueillera vingt mille étudiants, plaçant le nouvel établissement dans un pôle d’excellence.

Les bâtiments « Terre d’Ecole » respecteront strictement les normes de développement durable en laissant une place importante aux énergies alternatives.

Monsieur Denis Sassou Nguesso, Président de la République du Congo, est le président fondateur de Terred’Ecole. Voix unique de l’Afrique pour le développement durable lors du sommet Rio+20 en 2012, il adéveloppé, dès les années 1980, l’idée d’associer à une école un champ cultivé par les élèves. Il s’engageaujourd’hui à concrétiser la première école du programme Terre d’Ecole au Congo.

NE PAS SUBIR

Lors du Bahreïn International Garden Show, Mme Maria Maylin, présidente de Terre d’école et du ComitéInternational pour la Renaissance de l’Afrique (CIRA- www.cira-net.com), a déjà présenté le programme Terre d’Ecole dans sa dimension éducative et écologique en insistant sur la nécessité de transmettre à nos enfants des valeurs éducatives qui maintiennent le lien culturel.

« La vocation de Terre d’Ecole est d’engager les enfants dans la protection de leurs valeurs et de leurstraditions, mais aussi de faire savoir au monde qu’il est impératif de se mobiliser pour protégerl’environnement et ne plus subir », affirme Mme Maylin, présidente du CIRA. « C’est la raison pourlaquelle Terre d’Ecole a une double vocation : celle de s’appuyer sur les enfants comme relais pour deschangements radicaux d’attitude et de protection de la terre, et celle de s’étendre à d’autres pays dans la mesure où ces pays accepteront contractuellement de pérenniser les structures et l’enseignement.

Terre d’Ecole se nourrit des racines du savoir local pour construire l’avenir durable de nos enfants : c’est d’ailleurs la signature de notre projet », précise la présidente du CIRA.

Pour mener à bien le projet Terre d’école a constitué un comité exécutif et opérationnel.

Le comité exécutif détermine la stratégie de développement du programme Terre d’école et mène desactions auprès des partenaires institutionnels et des sponsors.

Maria Maylin, Présidente du CIRA

Fondatrice du CIRA, diplômée du Centre Diplomatique International et du Centre des Hautes Etudes surl’Asie et l’Afrique moderne, Maria Maylin est à l’initiative du projet Terre d’Ecole. Nourrie par l’action humanitaire et la passion des enfants depuis plus de 25 ans, elle a réalisé des projets ambitieux et structurésen s’attachant à sensibiliser et à mobiliser les experts nécessaires à leur succès. Visionnaire et engagée, Maria Maylin sait que l’avenir de l’Afrique passe par la protection de l’environnement et des traditionslocales, souvent ensevelies dans la transposition de projets importés et souvent inadaptés.

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